Le Cri de l'innocence

Haine

Mon roman est ancré dans une histoire douloureuse, de la mort de Solitude à celle de Joseph Ignace, Louis Delgres et tant d'autres.

L'attitude des colons dans le récit est totalement ahurissante, tirés de véritable anecdotes que j'ai puisé dans mes recherches. Je m'interroge sur la nécessité d'autant de cruauté ?

Soumettre des Hommes et des Femmes par la peur semble compréhensible d'un certain point de vue.

Mais pourquoi la France a permis à ces citoyens de développer des outils, des machines visant à torturer des innocents ?

Je n'ai pas hésiter à montrer au fil des chapitres comment des Esclaves mourraient et même le traitement des dépouilles. Jeté vulgairement dans des fosses communes.

Comment les enfants de cette époque pouvait aspirer au pardon après ça ?

Certains vont me trouver provocateur, être choqué qu'un enfant dans mon livre désir tuer tout les colons de Guadeloupe. 

Il ne s'agit pas d'entretenir la Haine, bien que la haine appel la haine. 

Mais l'écho des souffrances des Esclaves montent jusqu'à nous, comme il fût raconté les sévices terribles d'un Mengele à Auschwitz, le monde doit savoir qu'on écorchait vivant, jetait dans des fours, brûlait, ecartelait des individus uniquement parce qu'ils étaient Noirs.

La mémoire passe aussi par la souffrance